Le guide pour bien administrer le vermifuge Advocate pour chat

Comment administrer l'Advocate au chat ? Comment administrer l'Advocate au chat ?

Vous vous apprêtez à vermifuger votre compagnon avec l’Advocate pour chat, mais vous souhaitez être sûr que vous avez toutes les clés en main pour bien faire ? Bonne initiative ! 


Découvrez ici un petit guide pour comprendre quand utiliser l’Advocate pour chat, et comment bien l’administrer à votre matou. En fin d’article, vous découvrirez également les clés pour passer de 4 vermifugations par an à seulement 2, en appliquant des conseils simples et de bon sens, mais qui font toute la différence !

Quand utiliser le vermifuge Advocate pour chat ?

Pour répondre à cette question, il suffit de regarder ce qu’en dit le RCP officiel du vermifuge Advocate pour chat1. Voici ce qu’on y découvre.

En traitement curatif

Tout d’abord, il est possible d’utiliser l’Advocate pour soigner le chat de certaines affections parasitaires. Si votre compagnon a des selles molles depuis plusieurs jours, un poil plus terne que d’habitude, ou encore qu’il fait le traîneau, il est fort probable qu’il souffre de vers intestinaux. 

L’Advocate pour chat sera efficace contre les parasites que sont… 

  • La gale des oreilles et gale notoédrique
  • L’Eucoleus aerophilus
  • L’Aelurostrongylus abstrusus
  • Le Thelazia callipaeda
  • Le Toxocara cati
  • Le Ancylostoma tubaeforme
  • Le Dirofilaria immitis

Notez que l’Advocate est également un antiparasitaire efficace contre les puces

Si vous vous demandez de quels types de parasites votre chat souffre, n’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire. Celui-ci pourra vous orienter vers le meilleur vermifuge pour chat disponible en pharmacie.

Et si votre chat souffre de Giardiose ou de Coccidiose ?

C’est bien simple : ces deux parasitoses, très communes chez nos animaux de compagnie, ne peuvent pas être traitées via le vermifuge Advocate. 

Sachez que… 

  • En cas de Giardiose, le chat présente des excréments mous, et de couleur terne, verdâtre. Il faut alors le traiter en première intention avec le vermifuge Panacur2, le seul efficace contre la Giardiose dans 60 % de cas. Seulement si ce vermifuge n’a pas fonctionné, vous pourrez alors passer à un traitement au Flagyl (ou Métrobactin3), un antibiotique à lui donner sous haute surveillance vétérinaire. Besoin de plus d’informations ? Consultez notre dossier sur la Giardiose du chat.
  • En cas de Coccidiose, le chat a des selles liquides, voire très liquides, et de couleur jaunâtre. Le seul traitement efficace est alors un antibiotique de la famille des Sulfamides / Triméthoprimes4, comme le Sultrian5 ou le Bactrim6. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter notre dossier sur la Coccidiose du chat.

En traitement préventif

L’Advocate est également un bon vermifuge pour chats en traitement préventif. En effet, il est nécessaire de vermifuger votre chat régulièrement pour lui éviter toute infestation de larves et de vers. 

Pour administrer ce traitement préventif, veillez cependant à alterner entre différents antiparasitaires d’une vermifugation sur l’autre. En effet, aucun vermifuge ne couvre l’ensemble du spectre parasitaire à lui seul ; pour vous assurer que votre chat est protégé, il vous faut donc varier. 

En termes de fréquence de vermifugation, votre vétérinaire vous recommandera sans doute de vermifuger votre matou 4 fois par an. Mais vous allez découvrir plus loin dans ce petit guide que, si vous nourrissez votre chat en respectant ses Besoins Biologiques et Naturels, il n’aura besoin de produits antiparasitaires que 2 fois par an.

Quels sont les effets secondaires de l’Advocate pour chat ? 

Comme tous les médicaments, l’Advocate pour chat présente bel et bien des effets indésirables, qu’il s’agit de bien connaître pour les surveiller lors du traitement de votre compagnon. 

Ceux-ci sont indiqués sur la notice du vermifuge comme suit : 

  • Un prurit transitoire
  • Dans de rares cas : un poil gras, un érythème, des vomissements, ou une réaction locale d’hypersensibilité au produit
  • Si le chat se lèche la zone après application : des signes neurologiques, comme la léthargie, l’agitation, la perte d’appétit, ou la salivation

La majeure partie du temps, ces symptômes sont transitoires, et disparaissent rapidement, sans nécessiter de traitement supplémentaire. Cependant, si vous remarquez des symptômes inquiétants chez votre chat après l’administration de l’Advocate, n’hésitez pas à contacter votre vétérinaire.

Et les contre-indications de ce vermifuge ?

L’Advocate pour chat présente également quelques contre-indications. 

Il est recommandé de ne pas donner ce vermifuge… 

  • A un chaton de moins de 9 semaines
  • A une femelle en gestation ou en période d’allaitement
  • A un chat atteint d’hypersensibilité à l’imidaclopride, à la moxidectine, ou à l’un des excipients du médicament (consultez la notice pour les connaître)
Comment soigner les infestations parasitaires chez le chat avec l'Advocate ?

Comment administrer l’Advocate à son compagnon ?

Que vous utilisiez l’Advocate pour chat comme anti-puces ou comme traitement vermifuge, il vous faut prendre quelques précautions pour bien l’administrer à votre compagnon. 

Tout d’abord, attention à bien choisir le bon traitement, en fonction du poids de corps de votre chat :

  • Pour les petits chats de moins de 4 kg, choisissez les doses de 0,4 ml
  • Pour les grands chats de 4 à 8 kg, choisissez les doses de 0,8 ml
  • Pour les chats de plus de 8 kg, il vous faut créer une combinaison appropriée de pipettes, en fonction du poids de corps du chat 

Quoiqu’il arrive, n’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire avant de vermifuger votre matou. 

Une fois le bon vermifuge sélectionné, comment procéder ? L’Advocate se présentant sous forme de pipette, il vous faut mettre le produit à la base du cou du chat, sous son pelage, là où il ne pourra pas lécher directement la zone après application.

N’oubliez pas de bien vous laver les mains après avoir administré ce vermifuge à votre compagnon… et voilà !

Comment prévenir les infestations parasitaires chez le chat ?

Si vous avez lu l’article jusqu’ici, vous avez bien lu qu’il est possible de passer de 4 vermifugations par an à 2 seulement, en appliquant un principe simple : nourrir votre chat avec une alimentation de qualité, adaptée à ses Besoins Biologiques et Naturels. 

C’est simple à comprendre : une alimentation inadaptée aux besoins originels de votre compagnon provoque nécessairement un affaiblissement de son système immunitaire, et le rend plus sensible aux affections de parasites intestinaux ou de parasites externes

C’est pourquoi il est crucial, si vous souhaitez préserver sa santé, de lui trouver une nourriture capable de préserver son système immunitaire, et donc, sa santé, tout au long de sa vie. 

Et tout ceci commence par un élément simple : respecter la nature carnivore de votre compagnon. Si vous en doutez encore, il suffit de regarder ses intestins : ils sont trois fois plus courts que ceux de l’homme, lisses et sans sans ostracion7, ce qui rend laborieuse (voire dangereuse !) la digestion de légumes. 
Mais tout ne tient pas seulement à cela. Pour prévenir les infestations de parasites chez votre matou, prenez soin de lui sélectionner une alimentation qui respecte les 5 critères de qualité alimentaire suivants, basés sur ses besoins originels :

  1. Zéro légume, tubercule, légumineuse ou fruit. Ils sont bien sûr inadaptés à la nature carnivore de nos compagnons… mais cela ne s’arrête malheureusement pas là ! En ingérant ces ingrédients, le chat voit se développer des irritations chroniques de son système digestif, qui mènent régulièrement à des selles molles et diarrhées, des vomissements de bile, des pancréatites aiguës, des dermatites, ou encore des troubles hépatiques. Ce n’est d’ailleurs pas un secret : le Centre Antipoison Animal de l’École Nationale Vétérinaire lui-même classe déjà la pomme de terre8, le raisin9, l’ail et l’oignon10 comme “toxiques” pour nos chats et chiens. Ainsi, par mesure de précaution, veillez à supprimer de sa gamelle tout aliment contenant ne serait-ce qu’une trace de pommes de terre, patates douces, lentilles, pois, pois chiches, petits pois, tomates, courgettes, ou d’autres ingrédients similaires.
  2. Des protéines et graisses animales en quantité… mais de qualité ! Si votre chat est un carnivore, c’est qu’il a besoin d’une belle quantité de protéines animales dans sa gamelle. Mais on néglige encore trop souvent l’impact que des protéines animales de qualité discutable ont sur la santé de nos compagnons ! En effet, ces protéines de mauvaise qualité créent les mêmes irritations digestives chroniques, et induisent les mêmes soucis de santé que les légumes. Veillez donc à supprimer de sa gamelle tout aliment contenant des sous-produits animaux11 12 : ce sont les déchets de notre industrie agroalimentaire humaine, rassemblant des morceaux d’animaux hautement irritants (têtes, carcasses, cuirs, cous, pattes, becs, plumes…). Attention également à l’origine de ces protéines. Par exemple, dans les pays d’Amérique du Nord, la loi autorise l’utilisation dans la PetFood de viandes avariées recyclées à la Javel13 ; ou encore l’utilisation de viandes reconstituées à partir de farines animales (à l’origine souvent douteuse), de graisses, de minéraux, et de surtout beaucoup d’eau, qui se disent souvent “viandes fraîches”. La clé ? Ne sélectionner que des aliments à base de protéines et graisses animales provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine, et de pays aux législations fermes, comme la France. 
  3. Un taux de glucides inférieur à 33 % (soit ⅓ de la composition totale de l’aliment). Si vous écoutez ce qu’en disent certains lanceurs d’alertes aux croquettes toxiques sur Internet, vous pensez peut-être que les glucides sont à blâmer pour la quasi-totalité des soucis de santé de nos animaux de compagnie. Pourtant, les études à date1415 sont formelles : les glucides issus des céréales comme le riz ou le maïs sont bien digestibles à 99 % chez les chiens comme les chats. Le problème vient plutôt de la quantité de glucides : lorsque le taux de glucides dépasse les 33 %, ceux-ci perdent leur effet neutre sur la santé de votre compagnon. Ils peuvent alors entraîner des problèmes de diabète, d’obésité, ou encore d’infections urinaires chroniques16.
  4. Une cuisson à basse température. Le saviez-vous ? Quand ils sont cuits à haute température, certains ingrédients libèrent dans l’aliment de votre chat des acrylamides17, cancérigènes notoires, mais également des Advanced Glycated End products18, nocifs pour ses reins. Choisir un aliment cuit à basse température, c’est donc éviter ce type de souci, et préserver l’intégrité nutritionnelle des bons ingrédients de base de la nourriture. 
  5. Des tests menés en laboratoire contre les mycotoxines, OGM et métaux lourds. On ne parle pas assez de combien ces éléments, nocifs pour la santé à haute dose, sont présents dans la PetFood actuelle ! Deux études19 20 ont prouvé que 24 % des aliments analysés contenaient des concentrations en Arsenic (un métal lourd) supérieures à ce que l’UE a déterminé comme étant la limite maximale légale. Des résultats qui ont même poussé l’un des laboratoires à envoyer au RASFF21 7 notifications, rien que sur les années 2011 et 2012. Sélectionnez donc des aliments testés en laboratoire indépendant, et dont les résultats vous sont montrés : c’est une affaire de transparence, et le seul gage que le fabricant est bien engagé pour la santé animale !

En choisissant une nourriture qui respecte ces 5 critères alimentaires, vous assurez à votre chat moins de besoins en vermifuges, mais également, une santé préservée tout au long de sa vie !

Et si vous aussi, vous passiez à la Santé par l’Alimentation© pour votre chat ?

Depuis 15 ans que nous avons créé les croquettes CROQ’ la Vie, d’abord pour les chiens de notre élevage des Joyeuses Gambades, puis pour les chiens et chats d’autres amoureux des animaux, nous n’avons eu qu’une idée en tête : respecter les besoins originels de nos compagnons. 

C’est pourquoi, dans les croquettes pour chat CROQ’ la Vie, vous trouverez tout ce qu’il faut pour que votre matou garde la santé : 

  1. Aucun légume, tubercule, fruit ou légumineuse
  2. 70 % d’ingrédients d’origine animale, provenant uniquement d’abattoirs agréés à la consommation humaine
  3. 21 % de glucides seulement
  4. Une cuisson basse température
  5. Des tests en laboratoires indépendants : consultez-en les résultats ici

Avec nos croquettes, de nombreux chiens et chats retrouvent une santé intestinale normale, et profitent de la vie à pleines dents. Et si vous offriez la même chose à votre matou ?

Une question, un doute, sur la vermifugation de votre chat ou son alimentation ? Nous sommes toujours ravis de pouvoir vous accompagner dans la Santé par l’Alimentation© ! N’hésitez pas : contactez-nous dans les commentaires ci-dessous, ou par email directement.

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Références

  1. RCP du vermifuge Advocate pour chat : https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/advocate-epar-product-information_fr.pdf[]
  2. RCP Officiel du Vermifuge PANACUR pour chat[]
  3. RCP Officiel METROBACTIN[]
  4. Amel Letaief Omezzine – CHU Farhat Hached Sousse : Les anti-coccidies, Les anti-microsporidies – 2010[]
  5. RCP Antibiotique Sultrian – anti-coccidien[]
  6. RCP Antibiotique Bactrim – anti-coccidien[]
  7. Mammalogy – Adaptation, Diversity, Ecology, de A.George Feldhamer Lee C. Drickamer Stephen H. Vessey Joseph F. Merritt Carey Krajewski – edition Johns Hopkins University Press (4ème édition) – 27 mars 2015[]
  8. Toxicité digestive et nerveuse de la Pomme de terre – Centre antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[]
  9. Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” :  https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html[]
  10. L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” :  https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[]
  11. SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[]
  12.  RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF[]
  13. Viandes avariées recyclées aux Etats Unis et en Europe : https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/tafta-ttip-la-viande-a-la-javel-s-approche-de-nos-assiettes/[]
  14. Carciofi, A. C., Takakura, F. S., De‐Oliveira, L. D., Teshima, E., Jeremias, J. T., Brunetto, M. A., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on dog diet digestibility and post‐prandial glucose and insulin response. Journal of Animal Physiology and Animal Nutrition, 92(3), 326-336. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18477314[]
  15. De-Oliveira, L. D., Carciofi, A. C., Oliveira, M. C. C., Vasconcellos, R. S., Bazolli, R. S., Pereira, G. T., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on diet digestibility and postprandial glucose and insulin responses in cats. Journal of Animal Science, 86(9), 2237-2246. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18469063[]
  16. Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html[]
  17.  FRC (Fédéraction Romande des Consommateurs) - Croquettes pour chat : la gamelle qui rend malade : https://www.frc.ch/croquettes-pour-chat-la-gamelle-qui-rend-malade/[]
  18. Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney - Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899[]
  19. Squadrone S , Brizio P , Simone G , Benedetto A , Monaco G , Abete MC – “Presence of arsenic in pet food : a real hazard ?” (Présence d’arsenic dans les aliments pour animaux de compagnie : un danger réel ?) – Vet Ital. 29 décembre 2017; 53 (4) : 303-307. doi : 10.12834 / VetIt.530.2538.2. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29307124 (Version entière au format PDF : http://www.izs.it/vet_italiana/2017/53_4/VetIt_530_2538_2.pdf[]
  20. M. Davies , R. Alborough , L. Jones , C. Davis , C. Williams , et DS Gardner, (2017) : Mineral analysis of complete dog and cat foods in the UK and compliance with European guidelines “Analyse minérale d’aliments complets pour chiens et chats au Royaume-Uni et conformité aux directives européennes.” : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5719410/#CR5[]
  21. RASFF - Food and Feed Safety Alerts : Créé en 1979, RASFF permet un partage efficace des informations entre ses membres (autorités nationales de sécurité des aliments des États membres de l'UE, Commission, EFSA, ESA, Norvège, Liechtenstein, Islande et Suisse) et fournit un service 24h / 24 pour garantir les notifications sont envoyées, reçues et traitées collectivement et efficacement. Grâce au RASFF, de nombreux risques en matière de sécurité alimentaire ont été évités avant d'avoir pu être nocifs pour les consommateurs européens. - https://ec.europa.eu/food/safety/rasff_en[]

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