Chien qui boite de la patte arrière : que se passe-t-il ? Comment l’aider ?
“Mon chien boite de la patte arrière alors même qu’il n’a que 2 ans et qu’il n’a pas eu de traumatisme : est-ce grave ?” Vous n’imaginez pas le nombre de témoignages que nous recevons de maîtres désoeuvrés similaires à celui-ci.
Après des années d’expérience sur le terrain, nous pouvons vous l’assurer : la solution à bien des soucis de chien qui boite de la patte arrière est loin de toujours se trouver là où on l’imagine. Dans cet article, débusquez les fausses origines du chien qui boite de la patte arrière, et trouvez par là même occasion la solution pour qu’il retrouve toute sa mobilité… et plus globalement, toute sa santé !
Vous l’avez compris, cet article s’adresse à tous les maîtres qui ont un chien qui boite d’une patte arrière sans que votre chien n’ait subi de traumatisme, ce qui correspond à la majorité des cas.
Par traumatisme on entend : chien qui boite suite à un choc, suite à un changement de direction brutal lorsqu’il courait ou jouait… Ces traumatismes peuvent être à l’origine d’un traumatisme de l’articulation qui peut perdurer plusieurs jours si l’atteinte est superficielle ou s’il s’agit d’une légère élongation ligamentaire. Un même traumatisme plus violent peut quant à lui entraîner une rupture d’un ligament croisé des pattes arrière, une altération du cartilage… et peuvent nécessiter une opération en fonction de l’atteinte, de l’âge du chien et de son activité.
Si votre chien n’a pas subi ces traumatismes, alors il y a de grandes chances que cet article soit pour vous !
SOMMAIRE
Pourquoi votre chien boite de la patte arrière ?
Et si nous nous penchions tout d’abord sur le pourquoi du comment ? Vous allez voir que le phénomène du chien qui boite de la patte arrière est souvent loin d’être lié aux origines que l’on soupçonne d'habitude…
L’origine souvent avancée : l’arthrose ?
Certes, il arrive que des chiens encore jeunes, entre 2 et 6 ans, présentent des signes d’arthrose canine - et parmi ces signes, une boiterie, de la patte arrière ou avant. Seulement, on constate également bien souvent que ces chiens, lors de radiographies, n’ont en fait aucune arthrose sur leurs cartilages et articulations… Ou alors qu’ils ont très peu d’arthrose, et certainement pas assez pour justifier une boiterie.
En fait, que votre chien ait ou non de l’arthrose, sa boiterie est bien souvent liée à un autre souci : à ce que l’on appelle un trouble viscéro-posturo-articulaire. C’est bien cela qui fait boiter le chien, et l’arthrose apparaît avec le temps de manière prématurée à cause d’une articulation positionnée dans un axe physiologique non-naturel, qui provoque de fortes contraintes mécaniques sur celle-ci.
Restez dans le coin pour tout savoir sur ce fameux trouble postural : c’est là que se trouve la clé pour guérir votre compagnon de sa boiterie, et de son arthrose s’il en présente réellement !
Un autre diagnostic commun : la dysplasie ?
Deuxième origine souvent mentionnée pour le chien qui boite de la patte arrière : la dysplasie. Il s’agit d’une malformation des membres ou des articulations du chien (ici postérieures) souvent qualifiée de “congénitale”.
En réalité, les chiots naissent avec une ossature normale1, et ils deviennent dysplasiques au cours de leur croissance, sous l’influence de différents facteurs, comme le poids, une croissance trop rapide, l'alimentation inadaptée, le surpoids, une activité excessive durant la croissance, un traumatisme, etc.
Il n’empêche que dans le cas du chien qui se met à boiter après ses 2 ans, donc après sa croissance, ce diagnostic de “boiterie en raison de dysplasie” doit être naturellement écarté. Là encore, il s’agira plutôt d’un souci lié à un trouble postural que vous comprendrez mieux en continuant votre lecture.
Qu’est-ce que ce trouble viscéro-posturo-articulaire ?
Pour bien comprendre pourquoi votre chien boite de la patte arrière, il s’agit de se pencher de plus près sur la manière dont son système nerveux fonctionne. Les fonctionnement des pattes de votre compagnon sont en effet fortement liées à ses centres et relais nerveux posturaux : ceux-ci sont situés en-dessous du bulbe cérébral, dans son cervelet et sa moelle épinière.
Si votre chien se met à boiter sans que cela fasse suite à un traumatisme, alors c’est qu’il rencontre certainement un déséquilibre de son système postural. Ce souci déséquilibre le tonus de bon nombre des muscles de la posture de son corps et notamment au niveau du bassin et de ses pattes arrières.
Or, contre toute attente, ces relais nerveux responsables de sa boiterie sont liés avec d’autres parties de son corps, totalement insoupçonnées par la plupart des propriétaires. Ils sont notamment liés à…
- Ses affluences nerveuses somatiques, influencées par les traumatismes : c’est pour cela que les chiens qui connaissent des accidents se mettent à boiter
- Sa sphère céphalique, c’est-à-dire son crâne, ses yeux et ses oreilles
- Sa sphère digestive : c’est ce lien précis qui est souvent sous-estimé dans le souci du chien qui boite de la patte arrière ou avant
Eh oui, vous allez bien lu : si votre chien boite, c’est bien souvent parce qu’il connaît un dysfonctionnement de son système digestif. En ostéopathie on parlera de : “dysfonction viscérale”. Dans le cas précis du chien qui boite de la patte arrière, ce dysfonctionnement se situe sans doute du côté de son foie, de son pancréas, de son estomac ou de son intestin.
Sachez que les cas de chiens qui boitent de la patte arrière sont beaucoup moins courants que ceux qui boitent de la patte avant. Heureusement, l’origine du souci est globalement la même… et la solution également ! Vous allez désormais découvrir que le contenu de sa gamelle n’y est pas pour rien, et renferme également le sésame vers sa guérison.
En quoi sa nourriture provoque sa boiterie ?
Maintenant que vous savez que ce trouble viscéro-posturo-articulaire est à blâmer pour la boiterie de votre compagnon, il s’agit de trouver les éléments qui le provoquent. Sachant que tout est lié à son système digestif, vous ne serez que modérément surpris d’apprendre que ces éléments se trouvent dans sa nourriture.
Certaines origines médicamenteuses peuvent également être à l’origine de dysfonctions viscérales lorsqu’il s’agit de médicaments donnés sur le long terme. Ils peuvent donc également être à l’origine de boiteries. N’hésitez pas à nous contacter.
Pour être plus précis, lorsque l’on parle de son alimentation, il s’agit d’éléments ou d’ingrédients inadaptés à ses Besoins Biologiques et Naturels. Ces derniers viennent provoquer une irritation et/ou une inflammation de son estomac, son foie, son pancréas, ou ses intestins.
Ces ingrédients sont pour beaucoup simples à repérer et sont au nombre de 3. Les voici :
- Les légumes, tubercules, légumineuses et fruits. Retenez bien cette origine aux irritations et dysfonctions viscérales car il s’agit certainement aujourd’hui de la cause première depuis 2015 (année à laquelle ils ont été intégrés aux aliments des chiens pour la première fois). Votre chien étant un carnivore (en attestent ses intestins, 3 fois plus courts que celui de l’homme, lisses et sans haustration2), il ne peut les digérer. Résultat : ils créent des inflammations dans son système digestif, et provoquent alors ce fameux trouble postural à l’origine du chien qui boite de la patte arrière. Les méfaits de ces ingrédients ne s’arrêtent pas là, puisque l’inflammation qu’ils provoquent peuvent générer des selles molles et diarrhées chroniques, des dermatites atopiques, des vomissements à répétition, ou encore des pancréatites aiguës. D’ailleurs, plusieurs organisations n’hésitent pas à pointer du doigt leur dangerosité sur nos animaux. Ainsi, le Centre Antipoison de l’Ecole Nationale Vétérinaire classe la pomme de terre3, le raisin4, l’ail et l’oignon5 comme toxiques pour eux. Quant à la Food and Drug Administration (FDA) des Etats-Unis, elle fait cas dans plusieurs rapports chaque année des liens très probables entre certains légumes, leurs dérivés (amidon de…, protéine de…, fibre de…) et des cas de cardiomyopathies chez les chiens678.
- Les protéines et graisses animales de qualité médiocre. Malheureusement trop fréquentes dans la nourriture animale, elles produisent les mêmes soucis inflammatoires au niveau digestif chez les chiens. C’est notamment le cas des sous-produits animaux910 : véritables déchets de l’industrie agro-alimentaire humaine, ils rassemblent des bas-morceaux que nous ne consommons pas comme les carcasses, les têtes, les plumes, les becs, les cuirs, et autres joyeusetés. La provenance des protéines et graisses animales peut également être en cause : outre-Atlantique, il n’est par exemple parfaitement commun (et pas illégal… ) de voir des fabricants intégrer à leurs produits des viandes avariées recyclées à la Javel11 ou à l’acide (“agréé consommation humaine dans leur pays”), ou encore des viandes reconstituées à partir d’une mixture obtenue par un mélange de farines animales d’origine douteuse, de graisses, de minéraux et d’eau.
- Les glucides en trop grande quantité. Si les glucides ne sont pas directement liés au souci du chien qui boite de la patte avant, c’est leur présence en trop grande quantité qui provoquera des dysfonctionnement viscéraux chez le chien. Au-delà de la limite de 33% (soit ⅓ de la composition de l’aliment de votre chien), elles peuvent provoquer ces soucis, mais également des infections urinaires à répétition12, de l’obésité ou du diabète. Les glucides doivent être limités dans l’alimentation de nos carnivores, c’est uniquement du bon sens.
Bonne nouvelle cependant : d’expérience notable d’éleveurs depuis plus de 30 ans, dès lors que l’on élimine ces ingrédients de la nourriture de l’animal, la dysfonction viscérale se résout spontanément, souvent en quelques semaines. Par conséquent le trouble postural et la boiterie de votre chien disparaissent eux aussi, et revoyez rapidement gambader.
Dans certains cas, le simple fait de lui donner une bonne alimentation ne suffit pas.
C’est notamment le cas face aux parasitoses intestinales (notamment en cas de vers) qui doivent être traitées spécifiquement. C’est pour cela que de nombreuses personnes ou éleveurs voient une résolution de certaines boiteries après une simple vermifugation !
C’est également le cas par exemple dans certaines inflammations de l’estomac, du foie ou du pancréas où le système digestif a également besoin de repos. C’est pourquoi dans certains cas il faudra revoir le nombre de rations journalières, la quantité de nourriture donnée, voire établir momentanément un à deux jours de jeûne dans la semaine (notamment en cas d’ulcération de l’estomac). N’hésitez pas à nous contacter.
Seulement, si vous lui retirez sa nourriture actuelle pour guérir sa boiterie, la question suivante se pose : quelle est la nourriture idéale pour la remplacer et préserver sa santé toute sa vie ?
Quelle nourriture choisir pour le guérir de cette boiterie ?
Vous l’aurez déjà peut-être compris : pour guérir votre compagnon de ses soucis de boiterie, nul besoin de vous procurer des croquettes pour chien contre l’arthrose. Non : tout simplement, il vous faut trouver un aliment adapté à ses besoins originels, ceux que sa nature lui dicte et qu’il vous faut combler, en maître précautionneux.
Mais comment faire ? Face à ce que vous venez d’apprendre, peut-être vous sentez-vous perdu, voire désespéré face à l’état du marché de la PetFood ?
Rassurez-vous : il existe encore sur le marché des aliments réellement adaptés à votre compagnon. Pour les reconnaître, rien de plus simple : basez-vous sur les 5 critères de qualité alimentaire suivants.
La nourriture de votre chien doit…
- Ne contenir aucun légume, fruit, tubercule ou légumineuse. Vous en connaissez désormais les méfaits : à vous de supprimer de sa gamelle toute trace de pomme de terre, patate douce, pois, petit pois, haricot, pois-chiche, lentille, courgette, tomate et autre incongruité pour sa nature.
- Être faite à partir de protéines et graisses animales issues d’abattoirs agréés à la consommation humaine, dans des pays aux législations strictes. La qualité comme la provenance de ces protéines est cruciale : faites les bons choix, en vous tournant vers les fabricants qui osent une production locale (avec des ingrédients locaux) et respectueuse de la nature de votre compagnon.
- Ne contenir pas plus de 33% de glucides (soit ⅓ de la composition de l’aliment). En-dessous de cette limite, les glucides demeureront neutres sur la santé de votre chien.
- Être cuite à basse température. La cuisson de l’aliment a elle aussi son importance, puisque c’est à haute température qu’apparaissent des éléments comme les acrylamides13 (des éléments cancérigènes) et des Advanced Glycated End products14 (AGE, toxiques pour les reins du chien). Evitez ce souci, et choisissez une cuisson basse température, respectueuse de l'intégrité nutritionnelle des aliments.
- Être testée en laboratoire contre les métaux lourds, mycotoxines et OGM. Selon deux études récentes15)16, pas moins de 24% des marques analysées en Europe contiennent des concentrations totales en métaux lourds qui dépassent la limite légale fixée par la directive 2002/32 /CE. Au cours de la période 2011-2012, un des laboratoire a été jusqu’à envoyé 7 notifications au RASFF17. Bien qu’invisibles à l’oeil nu (et a fortiori sur les paquets de pâtées et croquettes pour chien), ces différents éléments sont de plus en plus pointés du doigt par la littérature scientifique comme engendrant des soucis de santé. Pour éviter leur présence importante dans les aliments de nos compagnons, il n’y a qu’une solution : veiller à ce que les fabricants aient testé leur présence dans leurs produits, et attestent de leur taux dans des résultats clairement affichés dans leur communication, comme nous le faisons à CROQ’ la Vie.
A la recherche d’un aliment réellement adapté à ses Besoins Biologiques et Naturels ?
Nos croquettes CROQ’ la Vie ont été conçues en suivant la philosophie de la Santé par l’Alimentation©, et ont déjà aidé bon nombre de chien qui boitent de la patte arrière à retrouver toute leur mobilité et toute leur santé.
Dedans, vous ne trouverez que des ingrédients issus de France, et qui préservent sa santé : 72% d’ingrédients d’origine animale, issus d’abattoirs destinés à la consommation humaine, 23% de glucides seulement, et évidemment aucun légume, tubercule, fruit ou légumineuse. Elles sont également testées en laboratoires contre les mycotoxines, OGM et métaux lourds : en attestent les résultats que nous affichons fièrement sur notre site web.
Vous aussi, soignez votre chien par l’alimentation que sa nature lui réclame !
A-t-il besoin de traitements complémentaires ?
Dernière étape avant d’être certain que le souci de boiterie de votre chien ne soit de l’histoire ancienne : vérifier s’il aurait besoin de traitement complémentaire. En effet, les chiens longtemps nourris avec une nourriture inadaptée ou de qualité médiocre peuvent avoir besoin d’autres coups de pouce pour réellement retrouver la santé.
Ce sera le cas si votre compagnon…
- Souffre de la présence de parasites intestinaux. L’irritation digestive de votre compagnon est un terreau fertile pour que les vers puissent s’installer. C’est pourquoi il est fréquent qu’il faille le vermifuger pour l’en débarrasser. Besoin d’en savoir plus à ce sujet ? Consultez notre dossier : Pourquoi vermifuger son chien, lequel choisir et à quel prix ?
- Présente également de l’arthrose. Dans ce cas précis, il est conseillé de lui administrer un traitement 100% naturel : le Canzocal (voir les résultats sur l’arthrose dans les différents témoignages certifiés ci-dessus). Il s’agit d’un complément alimentaire pour chien contre l’arthrose, qui permet à la fois de soulager ses douleurs articulaires, mais également de régénérer son cartilage abîmé. Un véritable traitement par l’origine qui, accompagné de la bonne nourriture, le remettra en mouvement sans boiterie très rapidement !
Bravo : en suivant ces conseils, de bon sens, mais qui font souvent toute la différence, vous allez aider votre compagnon à retrouver une pleine santé !
Si vous souhaitez bénéficier de plus de conseils, n’hésitez pas : contactez-nous dans les commentaires ci-dessous, ou par email. C’est toujours un réel plaisir que d’accompagner les maîtres dans les principes de la Santé par l’Alimentation©.
retrouver tous les commentaires de cet articleRéférences
- La Dysplasie de la Hanche (HD), par Société Centrale Canine, 24/09/2020 : https://www.centrale-canine.fr/articles/la-dysplasie-de-la-hanche-hd[↑]
- Mammalogy – Adaptation, Diversity, Ecology, de A.George Feldhamer Lee C. Drickamer Stephen H. Vessey Joseph F. Merritt Carey Krajewski – edition Johns Hopkins University Press (4ème édition) – 27 mars 2015[↑]
- Toxicité digestive et nerveuse de la Pomme de terre – Centre antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[↑]
- Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html[↑]
- L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[↑]
- FDA (U.S. Food and Drug Administration) : FDA Investigation into Potential Link between Certain Diets and Canine Dilated Cardiomyopathy / Enquête de la FDA sur le lien possible entre certains régimes et la cardiomyopathie dilatée canine – Mis à jour le 27 juin 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/news-events/fda-investigation-potential-link-between-certain-diets-and-canine-dilated-cardiomyopathy[↑]
- FDA (U.S. Food and Drug Administration) - Questions & Answers: FDA Center for Veterinary Medicine’s Investigation into a Possible Connection Between Diet and Canine Heart Disease - June 27, 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/animal-health-literacy/questions-answers-fda-center-veterinary-medicines-investigation-possible-connection-between-diet-and[↑]
- Tous les rapports de DCM : Dilated Cardiomyopathy in Dogs & Cats : Complaints Submitted to FDA-CVM - January 1, 2014 – April 30, 2019 : https://www.fda.gov/media/128303/download[↑]
- SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[↑]
- RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF[↑]
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- M. Davies , R. Alborough , L. Jones , C. Davis , C. Williams , et DS Gardner, (2017) : Mineral analysis of complete dog and cat foods in the UK and compliance with European guidelines “Analyse minérale d'aliments complets pour chiens et chats au Royaume-Uni et conformité aux directives européennes.” : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5719410/#CR5[↑]
- RASFF - Food and Feed Safety Alerts : Créé en 1979, RASFF permet un partage efficace des informations entre ses membres (autorités nationales de sécurité des aliments des États membres de l'UE, Commission, EFSA, ESA, Norvège, Liechtenstein, Islande et Suisse) et fournit un service 24h / 24 pour garantir les notifications sont envoyées, reçues et traitées collectivement et efficacement. Grâce au RASFF, de nombreux risques en matière de sécurité alimentaire ont été évités avant d'avoir pu être nocifs pour les consommateurs européens. - https://ec.europa.eu/food/safety/rasff_en[↑]