Insuffisance rénale du chat et alimentation : les règles à connaître !

Si vous recherchez des informations sur le lien entre insuffisance rénale du chat et l’alimentation, c’est sans doute que vous savez que ce qui se trame dans la gamelle de votre compagnon a un effet sur sa santé rénale. 

Vous avez bien raison : l’alimentation est bien, en majeure partie, à l’origine de l’IRC du chat. Mais bonne nouvelle : c’est également dans sa gamelle que se trouvent les clés pour le guérir !

Découvrez dans cet article les règles-clés d’une alimentation capable de soigner votre chat de son insuffisance rénale.

Votre chat souffre d’insuffisance rénale chronique, et vous souhaitez tout savoir sur sa pathologie, pour le traiter au mieux ? Consultez notre dossier "Insuffisance rénale du chat : donnons-leur UNE CHANCE de guérir”

Règle #1 : Lui fournir des protéines et graisses animales de qualité

Les protéines animales sont à blâmer pour l’insuffisance rénale chronique du chat : c’est ce que vous entendrez souvent dire. Et cette affirmation très répandue est vraie… mais seulement en partie. 

En effet, vous entendrez souvent dire que c’est la quantité de protéines dans l’alimentation du chat en insuffisance rénale chronique qui cause l’augmentation de l’urée du chat, et donc sa pathologie. Or, ce n’est pas le cas ! Là où le bât blesse, c’est lorsque les protéines animales qui lui sont fournies sont de mauvaise qualité.

C’est notamment ce qu’énonce Jutta Ziegler, docteur vétérinaire, dans son livre Toxic Croquettes1, lorsqu’elle écrit : “Des études américaines ont clairement montré depuis longtemps qu’un apport réduit en protéines ne permet pas de remédier aux maladies rénales. Bien au contraire : le plus important, qu’il s’agisse de [chats] en bonne santé ou de [chats] malades des reins, est de leur donner des protéines de qualité […]”.

En effet, les protéines de mauvaise qualité viennent mettre les reins du chat à rude épreuve, et notamment ses reins. D’ailleurs, elles ne sont pas uniquement à l’origine d’IRC, mais également de diarrhées et selles molles chroniques, de vomissements de bile, ou encore de troubles hépatiques. 

C’est pourquoi, dans les cas d’insuffisance rénale du chat, l’alimentation doit contenir des protéines de très haute qualité. En tant que carnivore, il en a besoin pour favoriser la filtration glomérulaire dans ses reins, et les aider à se régénérer naturellement. 

D’ailleurs, si votre chat souffre d’une insuffisance rénale avancée (au stade 3 ou 4, en phase terminale), n’hésitez pas à lui proposer uniquement de la viande crue pendant quelques semaines. Cette bonne viande, agréée à la consommation humaine, lui sera plus appétante que des croquettes ou des pâtées, sera plus digeste pour ses reins, et favorisera sa guérison. Veillez simplement à lui fournir de la volaille (poulet, dinde…), et non du bœuf ou du porc, qui lui sont inadaptés par nature. 

Et, une fois que votre compagnon aura guéri de sa pathologie, il s’agira de lui trouver une croquette et/ou une pâtée qui respecte également ce critère de qualité, fondamental pour éviter des soucis de santé chez lui. Car la Dr Vétérinaire Dr Jutta Ziegler l’a bien constaté : les animaux à qui on donne des aliments de bonne qualité n’ont pas (ou très peu) de problèmes rénaux !

Attention à ces sources protéiques de qualité discutable dans sa nourriture… 

Malheureusement, bon nombre de pâtées et croquettes pour chat disponibles sur le marché intègrent dans leur composition des protéines et graisses animales de qualité assez douteuse. Celles-ci pourraient bien être à l’origine de nombreux cas d’insuffisance rénale chez nos animaux, voire aggraver leur situation. 

Parmi ces sources protéiques à éviter, on compte notamment…

  • Des sous-produits animaux2 3, qui sont en fait les déchets de notre industrie agroalimentaire humaine. Dedans, vous y trouverez tous les bas morceaux que nous ne consommons pas : des têtes, des carcasses, des cuirs, des cous, des pattes, des becs, des plumes… autant d’éléments irritants pour son système digestif, et nocifs pour ses reins.
  • Des viandes provenant de pays aux législations peu strictes. Peut-être ne le saviez-vous pas, mais certains pays autorisent des pratiques très dangereuses pour la santé de nos compagnons. C’est le cas des pays d’Amérique du Nord, où de nombreux fabricants intègrent à leurs produits des viandes avariées recyclées à la Javel4, ou encore des viandes reconstituées à partir d’une mixture de farines animales (dont on connaît rarement l’origine), de minéraux, de graisses, et surtout de 80% d’eau en moyenne ! Inutile de vous dire combien ces pratiques (légales !) peuvent nuire au système digestif de nos chats.

Et d’ailleurs, nous ne sommes pas à l’abri de ces dérives en Europe ! La DGCCRF elle-même alerte les consommateurs sur le fait que bon nombre de fabricants y abusent de l’appellation “viandes fraîches” sur leurs produits5.

Ainsi, quelle que soit l’alimentation que vous choisissez à votre chat souffrant d’insuffisance rénale chronique, renseignez-vous sur sa composition, mais aussi sur la provenance des aliments ! Privilégiez toujours des aliments à base de protéines et graisses animales provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine, et de pays aux lois strictes en matière d’alimentation animale, comme la France.

Règle #2 : N’introduire aucun légume, tubercule, légumineuse ou fruit dans sa gamelle

C’est un fait : la nature carnivore de votre compagnon rend les légumes, tubercules, légumineuses et fruits totalement inadaptés à son régime originel. Eux aussi provoquent sur son système digestif des irritations chroniques, qui mènent aux mêmes soucis de santé que les protéines animales de mauvaise qualité. 

Mais alors, quel est le rapport entre ces ingrédients et l’IRC chez le chat ? La réponse est là aussi prouvée par des faits scientifiques : ces ingrédients rendent son pH urinaire alcalin6. C’est ce qui signale le Centre d’Urologie de la Faculté de Médecine vétérinaire de Montréal : « un animal dont la ration est surtout composée de céréales ou de légumes [que cela soit dans ses croquettes ou en ration ménagère,] aura un pH alcalin » des urines6..

Et les conséquences ne se font pas attendre : ils provoquent alors des infections urinaires chroniques, pouvant engendrer des risques rénaux, et en particulier des insuffisances rénales.

D’ailleurs, le Centre Antipoison Animal de l’École Nationale Vétérinaire n’hésite pas à en classer certains (la pomme de terre7, le raisin8, l’ail et l’oignon9) comme “toxiques”. 

Ainsi, pour soigner votre chat atteint d’insuffisance rénale par l’alimentation, mais aussi pour préserver plus globalement sa santé, évitez tout aliment intégrant des pommes de terre, des patates douces, des lentilles, des pois, des pois-chiches, des petits pois, des tomates, des courgettes, des haricots et tous ces autres ingrédients complètement incongrus pour son régime carnivore !

l'insuffisance rénale du chat et l'alimentation sont éminemment liées

Règle #3 : Limiter le taux de glucides de son alimentation à 33% maximum

Vous le savez, si vous vous intéressez au monde de l’alimentation animale : les glucides sont souvent pointés du doigt comme de véritables dangers pour la santé de nos chats et de nos chiens. S’il s’agit de relativiser ces discours alarmistes, basés sur de fausses croyances, les glucides ne sont effectivement pas anodins pour nos compagnons. 

Là encore, tout est une question de quantité. En effet, les glucides sont bel et bien digestes pour nos compagnons : on estime à 99% la digestibilité des céréales (riz, maïs…) chez les chats comme les chiens10 11. Cependant, c’est lorsqu’ils dépassent une certaine quantité de l’aliment qu’ils perdent leur effet neutre sur la santé du chat. 

En effet, au-delà de 33% (soit ⅓ de la composition de l’aliment), les glucides favorisent le diabète, l’obésité… mais aussi les infections urinaires, tout comme les légumes. D’où leur lien avec les insuffisances rénales félines. 

Ainsi, si vous souhaitez aider votre compagnon à se rétablir de son insuffisance rénale du chat par l’alimentation, vérifiez que la nourriture que vous lui choisissez n’excède pas les 33% de glucides maximum. 

Cette 3ème règle ne doit cependant pas vous dissuader d’appliquer celle à propos des légumes ! Bon nombre de fabricants, souhaitant éliminer les céréales de la composition de leurs aliments, ont en effet tendance à les remplacer par des légumes, des tubercules, des fruits ou des légumineuses… ce qui peut nuire à la santé de nos animaux, et ce, même en très petite quantité !

Règle #4 : Choisir un aliment cuit à basse température

Lorsqu’on parle de l’alimentation du chat souffrant d’insuffisance rénale chronique, on parle souvent de la composition des aliments à lui donner. Toutefois, un autre élément passe souvent à l’as : le type de cuisson de cet aliment. 

Eh oui : on en parle peu, mais la cuisson à haute température, souvent utilisée en milieu industriel, libère des éléments toxiques dans la nourriture que nous proposons ensuite à nos compagnons. Elle vient notamment créer des Advanced Glycated End products (ou AGE), dont les effets nocifs sur les reins des chats ne sont plus à prouver. Ils créent en effet des modifications structurelles des néphropathies progressives telles que la glomérulosclérose, la fibrose interstitielle et l’atrophie tubulaire… qui mènent souvent à des insuffisances rénales chez le chat12 13

En choisissant un aliment cuit à basse température, vous préservez la santé de ses reins… mais l’aidez également à tirer le meilleur de sa gamelle. En effet, à basse température, l’intégrité nutritionnelle des aliments de base de la pâtée ou de la croquette est respectée, pour un aliment encore plus gourmand !

Règle #5 : Choisir une alimentation testée en laboratoire

Peut-être avez-vous entendu les études scientifiques parlant de l’impact des métaux lourds sur la santé de nos chats. Ceux-ci (comme le cadmium, le plomb, ou encore le mercure) peuvent avoir de réels effets nocifs sur les reins de nos compagnons, et induire des insuffisances rénales, à terme. 

C’est pourquoi il est crucial de choisir des aliments testés en laboratoire indépendant, qui indiquent clairement la présence massive (ou non) de ces éléments dans le produit. Le petit plus ? Une nourriture également testée contre les mycotoxines. Car, si celles-ci n’affectent pas la santé rénale du chat, elles ne sont pas pour autant inoffensives pour sa santé globale. 

Trop peu de fabricants prennent encore l’initiative d’afficher clairement les tests menés sur leurs aliments. Pourtant, c’est une question de transparence : et c’est cette transparence qui, selon nous, permet de gagner la confiance des amoureux des animaux ! C’est bien pour ça que, chez CROQ’ la Vie, nous sommes fiers d’afficher les résultats des tests de nos produits sur notre site web.

Règle #6 : Vérifier l’équilibre minéral de sa nourriture

Cette dernière règle n’influence pas directement l’insuffisance rénale chronique du chat, mais participe bien à la préservation de la santé de votre chat. Actuellement, les études les plus récentes recommandent que la nourriture de votre compagnon ait un rapport calcium/potassium (Ca/P) de 1,2 à 1,4 / 1.

Bon à savoir : Si l’alimentation joue un rôle prédominant dans l’insuffisance rénale du chat, il existe d’autres origines à la pathologie, et notamment certains médicaments. En effet, des traitements comme les antibiotiques14, ou les anti-inflammatoires non stéroïdiens (dont l’aspirine)15 16 peuvent provoquer des néphrites interstitielles aiguës (NIA), qui provoquent elles-mêmes des IRC. 

Pour être sûr de bien guérir votre compagnon, vérifiez donc les notices des traitements médicamenteux qu’il prend alors. Si vous voyez des mentions d’effets secondaires rénaux, n’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire, et à nous contacter si besoin.

En bref : les règles à connaître pour soigner l’insuffisance rénale chronique du chat par l’alimentation

C’est un fait : l’insuffisance rénale du chat et l’alimentation sont intimement liées, et la deuxième peut venir soigner la première… si vous suivez les bons critères de qualité alimentaire :

  1. De bonnes protéines et graisses animales
  2. Aucun légume, tubercule, légumineuse ou fruit 
  3. 33% de glucides maximum 
  4. Une cuisson basse température
  5. Des tests en laboratoire contre les métaux lourds et les mycotoxines
  6. Un équilibre minéral adapté

Ces critères vous aideront non seulement à soigner votre chat, mais aussi à lui faire garder la santé tout au long de sa vie ! En somme, la clé est bien de lui trouver une nourriture qui respecte ses Besoins Biologiques et Naturels

Chez CROQ’ la Vie, ce sont bien ces besoins originels qui nous intéressent à tout moment, pour offrir à nos compagnons domestiques le meilleur. C’est grâce aux croquettes CROQ’ la Vie que de nombreux chats et chiens ont déjà pu guérir de leur IRC. Dedans, vous trouverez tout ce qu’il faut au vôtre pour retrouver la santé : 70% d’ingrédients d’origine animale, provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine, 21% de glucides seulement, une cuisson basse température, et bien sûr, aucun légume !
A vous de jouer : vous avez entre les mains les clés d’une alimentation contre l’insuffisance rénale du chat ! Si vous souhaitez bénéficier de plus de conseils pour aider votre compagnon à s’en sortir, n’hésitez pas : contactez-nous dans les commentaires ci-dessous, ou par email ; nous nous ferons un plaisir de vous partager les conseils accumulés par des années d’expérience sur le terrain.

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Références

  1.  Dr Vétérinaire Jutta Ziegler – Toxic Croquettes – Édition Broché – 22 mai 2014, chapitre 1[]
  2.   SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[]
  3.  RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF[]
  4.  Viandes avariées recyclées aux Etats Unis et en Europe : https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/tafta-ttip-la-viande-a-la-javel-s-approche-de-nos-assiettes/[]
  5.  Mentions d’étiquetage sur les aliments pour chiens et chats – Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/mentions-detiquetage-sur-aliments-pour-chiens-et-chats[]
  6.  Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html[][]
  7.  Toxicité digestive et nerveuse de la Pomme de terre – Centre antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[]
  8.   Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” :  https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html[]
  9.  L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” :  https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[]
  10.  Carciofi, A. C., Takakura, F. S., De‐Oliveira, L. D., Teshima, E., Jeremias, J. T., Brunetto, M. A., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on dog diet digestibility and post‐prandial glucose and insulin response. Journal of Animal Physiology and Animal Nutrition, 92(3), 326-336. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18477314[]
  11.  De-Oliveira, L. D., Carciofi, A. C., Oliveira, M. C. C., Vasconcellos, R. S., Bazolli, R. S., Pereira, G. T., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on diet digestibility and postprandial glucose and insulin responses in cats. Journal of Animal Science, 86(9), 2237-2246. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18469063[]
  12. Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney – Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899[]
  13.   Gentzel JB (2013) Does contemporary canine diet cause cancer ? ; A review, Vet World 6(9):632-639, DOI:10.14202/vetworld.2013.632-639, Version PDF de l’étude :   http://www.veterinaryworld.org/Vol.6/Sept-2013/10.pdf[]
  14.  Cryst C, Hammar SP. Acute granulomatous interstitial nephritis due to co-trimoxazole. Am J Nephrol 1988 ; 8 : 483-8. : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/3265285/[]
  15. Whelton A. Nephrotoxicity of nonsteroidal anti-inflammatory drugs : Physiologic foundations and clinical implications. Am J Med1999 ; 106 : 13S-24S. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10390124/ []
  16.  Alexopoulos E. Drug-induced acute interstitial nephritis. Ren Fail 1998 ; 20 : 809-19.[]

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2 commentaires
  1. Bonjour
    J’aimerais avoir votre avis sur cette analyse :
    Chat Mâle Européen Castré de 9 ans
    Poids :4,28 kg
    C’est un chat plutôt de grande taille et après avoir fait jusqu’à 6,6 kg est nourrit depuis 4 ans avec Des croquettes vétérinaire.
    Voici une analyse après que son poids est chuté depuis le printemps :
    GLU :0,89 g/L.
    CRÉA : 17,8 mg/L
    URÉE : 0,862 g/L
    BUN/CRÉA : 23
    PT : 73 g/L
    ALB : 30 g/L
    GLOB : 43 g/L
    ALB/GLOB : 0,7
    ALAT : 66 U/L
    PAL : 12 U/L
    Il n’a pas d’autres symptômes que la perte d’appétit.
    Dans l’attente de vous lire.

    1. Bonjour,
      Avant tout, nous ne sommes pas vétérinaire et vous invitons à demander le diagnostic à votre spécialiste et les origines mises en évidence par ce dernier.
      Afin d'échanger plus en détail ensemble, nous prenons contact avec vous par mail. Nous pourrons ainsi vous partager nos observations lors de troubles rénaux chez les chats, notamment.
      Au plaisir de vous lire.
      Cordialement.

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