Vermifuger un chaton : est-ce nécessaire ? Comment procéder ?

Comment vermifuger un chaton ? Comment vermifuger un chaton ?

Vous avez adopté un adorable petit matou, et vous vous demandez s’il faut vermifuger un chaton ? Vous êtes tombé au bon endroit : il est effectivement nécessaire de vermifuger votre petit compagnon, qu’il soit contaminé ou non par des vers. 

Vous allez découvrir ici un petit guide simple pour bien vermifuger un chaton, et quelques bonnes pratiques pour éviter la récidive des parasites gastro-intestinaux. À vous de jouer !

Dans quels cas faut-il vermifuger un chaton ?

Il existe deux cas de figure où il est nécessaire de vermifuger un chaton. 

D’un côté, il vous faudra absolument vermifuger votre petit matou si celui-ci est infesté par des parasites internes

Pour le savoir, vous pouvez vous fier aux symptômes suivants, qui témoignent de la présence massive de vers dans le système digestif du chaton : 

  • Il perd du poids, et a plus d’appétit
  • Il fait le traîneau (c’est-à-dire qu’il se gratte les fesses au sol, puisqu’il a des démangeaisons à l’anus, infesté de vers, de larves ou d’œufs) 
  • Ses selles sont molles, mal formées et mal moulées
  • Il a le ventre gonflé 
  • Il vomit parfois
  • Son pelage est plus terne que d’habitude
  • Le chaton présente un retard de croissance

D’un autre côté, même si votre chaton ne présente pas de symptômes de vers intestinaux, il est nécessaire de le vermifuger régulièrement, à titre préventif. En effet, le système immunitaire de votre petit compagnon est encore fragile, et il est beaucoup plus aisément sujet au développement d’une parasitose.

Pour l’aider à s’en prémunir efficacement, vous devez donc aider ses défenses immunitaires naturelles en lui prodiguant un vermifuge pour chat de manière régulière.

Attention : à savoir si votre chaton a la Giardiose ou la Coccidiose

Ces deux parasitoses sont très fréquentes chez nos animaux de compagnie. Seulement, contrairement à des infestations d’autres parasites digestifs, ces pathologies appellent des traitements très spécifiques. Il s’agit donc de réussir à détecter si votre compagnon en souffre. 

  • Votre chaton a peut-être la Giardiose s’il a la diarrhée ou que ses excréments sont mous, et de couleur terne ou verdâtre. S’il souffre de cette parasitose, seul le vermifuge Panacur1 sera efficace (dans 60 % des cas). Si ce vermifuge s’avère inefficace, il vous faudra passer par un traitement au Flagyl (ou Métrobactin2), sous haute surveillance vétérinaire. 
  • Votre chaton a peut-être la Coccidiose si ses selles sont liquides, voire très liquides, et de couleur jaunâtre. Si votre chaton est encore jeune, il s’agit d’une urgence vétérinaire, car il risque alors une déshydratation rapide ! Votre vétérinaire pourra alors lui prescrire un antibiotique de la famille des Sulfamides / Triméthoprimes3, comme le Sultrian4 ou le Bactrim5.

Vous avez le moindre soupçon de Giardiose ou de Coccidiose ? Rendez-vous rapidement chez votre vétérinaire, et demandez-lui explicitement un test parasitaire pour confirmer ce primodiagnostic.

À quelle fréquence faut-il vermifuger son chaton ?

À titre préventif, il est nécessaire de vermifuger son chaton tous les mois, jusqu’à ce qu’il atteigne l’âge de 6 mois.

Par la suite, votre vétérinaire vous recommandera sans doute de vermifuger votre compagnon 4 fois par an. Seulement, vous allez découvrir plus loin dans cet article que, si vous le nourrissez avec une alimentation adaptée à ses Besoins Biologiques et Naturels, de réelle qualité, vous n’aurez à lui administrer un vermifuge que deux fois par an.

Quel vermifuge pour chaton choisir ?

Il existe de nombreux vermifuges, disponibles en pharmacie, soit en libre-service, soit sur ordonnance du vétérinaire. Chacun de ces vermifuges est efficace seulement sur une partie du spectre parasitaire (vers ronds, vers plats, ténia, ascaris…) ; c’est-à-dire qu’aucun de ces vermifuges pour chat n’est efficace contre tous les parasites intestinaux.

Ainsi, la clé d’une bonne vermifugation préventive du chaton est bien d’alterner entre les différents vermifuges. De cette manière, vous vous assurez de couvrir l’intégralité des vers parasites qui pourraient loger dans le tube digestif de votre petit compagnon. 

Ceci étant, certains vermifuges ne doivent pas être donnés à un chaton

  • Le Profender6 est déconseillé chez les chatons de moins de 8 semaines ou de moins de 0,5 kg
  • L’Advocate7 ne doit pas être donné chez les chatons de moins de 9 semaines. Le RCP du médicament précise même que “l’administration du traitement chez un chat [...] infesté par des filaires adultes peut entraîner des effets indésirables graves, y compris la mort de l’animal”
  • Le Milbemax8 n’est pas contre-indiqué, mais doit absolument être bien dosé pour le chaton, car le risque de surdosage du produit est très important.

Quoiqu’il arrive, nous vous recommandons de demander conseil à votre vétérinaire sur le vermifuge à choisir, et à toujours bien lire la notice d’utilisation. Cette dernière est cruciale pour vérifier la posologie à administrer à votre animal de compagnie, ainsi que les potentiels effets secondaires à surveiller tout au long du traitement.

Enfin, nous vous déconseillons fortement d’avoir recours à l’ail ou à la courgette comme vermifuge pour chat naturel. En effet, le premier crée une diminution des globules rouges dans le sang du chat, et supprime l’apport en oxygène dans le sang, tandis que le second provoque quasiment à coup sûr des vomissements de bile et des gastrites. 

Le seul vermifuge naturel que vous pouvez utiliser à titre préventif sans risque pour la santé de votre compagnon est la terre de Diatomée.

Quels sont les effets indésirables des vermifuges ?

Comme tous les médicaments, les vermifuges pour chat peuvent présenter des effets secondaires, tels que… 

  • Des troubles digestifs (vomissements, diarrhées, nausées…)
  • Une perte d’appétit (anorexie) 
  • Des troubles neurologiques rares (tremblements, muqueuses qui pâlissent, salivation excessive)

Cependant, la plupart du temps, ces effets secondaires sont transitoires, et prennent fin quelques jours après. Si ceux-ci persistent, n’hésitez pas à consulter au plus vite un vétérinaire.

Comment vermifuger un chaton ?

Tout d’abord, il vous faut trouver la posologie idéale pour votre chaton, à savoir la quantité de produit à lui administrer. Cette posologie dépend du poids de corps de votre chat : consultez la notice pour vous assurer de lui donner la bonne quantité.

Pour administrer le vermifuge à votre chaton, tout dépend du type de vermifuge en question : 

  • Pour une pipette de vermifuge, déposer le produit à la base du cou de l’animal, là où ne pourra pas le lécher 
  • Pour un vermifuge en comprimé, vous pouvez le lui faire avaler directement dans la gueule, ou bien le mélanger à sa nourriture ou à un yaourt nature, pour plus de gourmandise
  • Dans certains cas d’infestation extrême, votre vétérinaire pourra choisir de procéder à une injection directe de l’antiparasitaire

Pensez à bien vous laver les mains une fois le chaton vermifugé.

Comment limiter l’apparition des vers chez le chaton et le chat adulte ?

Il faut le savoir : plus un chaton ou un chat adulte est nourri avec une nourriture inadaptée à ses besoins originels ou de piètre qualité, plus son système immunitaire est faible. C’est pourquoi on constate que les chats nourris avec une alimentation de qualité, adaptée à leurs besoins originels, sont moins sensibles aux affections parasitaires, et donc moins souvent infestés de vers. 

Ainsi, la clé pour limiter la vermifugation de votre compagnon, c’est bien de lui trouver une alimentation adaptée à ses Besoins Biologiques et Naturels, qui pourra le suivre tout au long de sa vie.

Pourquoi parler d’alimentation “inadaptée aux besoins originels du chat” ?

Tout simplement, car on a tendance à oublier que les chats sont bien des carnivores, malgré des millénaires de domestication par l’homme ! Pour en être sûr, il suffit de regarder son intestin, trois fois plus court que celui de l’homme, lisse et sans ostracion9, caractéristique d’un carnivore. Cette structure intestinale lui rend laborieuse (voire, vous allez le voir, dangereuse) la digestion des légumes. 

Respecter la nature carnivore de votre chat, c’est donc le plus bel acte d’amour que vous puissiez lui prodiguer, pour préserver sa santé !

À ce stade de votre lecture, peut-être vous demandez-vous comment choisir à votre chaton une alimentation adaptée à ses Besoins Biologiques et Naturels ? C’est là une attitude bien normale : il peut être assez déconcertant de naviguer à travers l’univers de la PetFood, et des nombreux aliments différents proposés sur le marché. 

Et si l’on revenait à la nature de nos compagnons, tout simplement, en regardant de près de quoi ils ont réellement besoin ? Pour ce faire, vous pouvez vous focaliser sur les 5 critères de qualité alimentaire suivants, basés sur les besoins originels de votre chat.

Comment vermifuger un chaton et lui trouver une alimentation limitant les vers intestinaux ?

Votre chaton, puis chat adulte, a besoin… 

  1. D’un aliment sans légume, tubercule, légumineuse ou fruit. Votre compagnon étant carnivore, ses intestins ne sont pas faits pour consommer ce type d’ingrédients. Pire : en cas d’ingestion de ces ingrédients, il subit alors des irritations intestinales chroniques, provoquant des selles molles, diarrhées, vomissements chroniques, troubles hépatiques, pancréatites aiguës, ou encore dermatites. D’ailleurs, on ne s’étonne pas que la pomme de terre10, le raisin11, l’ail et l’oignon12 soient enregistrés au Centre Antipoison Animal de l’École Nationale Vétérinaire. Ainsi, nous vous conseillons de supprimer toute trace de pommes de terre, de patates douces, de lentilles, de pois, de pois chiches, de petits pois, de tomates, de courgettes, ou d’autres ingrédients similaires, de sa gamelle.
  2. D’une nourriture gorgée de protéines et graisses animales de qualité. À l’instar des légumes, les protéines et graisses animales de piètre qualité irritent le système digestif de votre chat, provoquant les mêmes soucis de santé. Évitez notamment tout aliment à base de sous-produits animaux1314 : ce sont en fait les déchets de l’industrie agroalimentaire humaine, mêlant des bas morceaux irritants tels que des têtes, des carcasses, des cuirs, des cous, des pattes, des becs, ou encore des plumes. De même pour les protéines animales provenant de pays aux législations peu fermes. Par exemple, la loi des pays d’Amérique du Nord autorise l’utilisation dans la PetFood de viandes avariées recyclées à la Javel15, ou de viandes dites “fraîches”, en fait reconstituées à partir d’un mélange de farines animales (à l’origine souvent inconnue), de graisses, de minéraux, et de surtout beaucoup d’eau. Privilégiez toujours des aliments à base de protéines animales issues d’abattoirs agréés à la consommation humaine, et de pays aux législations fermes, comme la France. 
  3. D’une alimentation au taux de glucides maximum de 33 % (soit ⅓ de la composition totale de l’aliment). On se méprend souvent sur la réalité des glucides sur la santé de nos animaux domestiques. Ceux-ci sont en effet parfaitement digestibles pour les chiens et les chats (99 % de digestibilité des glucides issus de céréales1617). Cependant, consommés à trop haute dose (c’est-à-dire au-delà de 33 % de la composition de l’aliment), les glucides peuvent provoquer des soucis de surpoids, d’obésité, de diabète, ou encore d’infections urinaires chroniques18 chez nos compagnons. Point trop n’en faut !
  4. D’un aliment cuit à basse température. Peut-être l’ignoriez-vous, mais lorsque certains ingrédients sont cuits à haute température (comme c’est majoritairement le cas en milieu industriel), ils libèrent dans la pâtée ou la croquette des acrylamides19 cancérigènes, et des Advanced Glycated End products20, nocifs pour la santé rénale du chat. Évitez ces soucis de santé à votre matou : choisissez-lui un aliment cuit à basse température, respectueux de l’intégrité nutritionnelle des bons aliments de base. 
  5. D’une nourriture testée en laboratoire contre les mycotoxines, métaux lourds et OGM. Si on connaît bien les effets nocifs à moyen et long terme de ces éléments, on ignore souvent combien ils sont présents dans la nourriture animale ! En ce qui concerne les métaux lourds, le bilan est terrible : deux études2122 ont étudié des échantillons de PetFood, et ont trouvé que 24 % de ces aliments dépassaient la limite légale d’Arsenic posée par l’Union européenne. L’un des laboratoires a trouvé ces résultats si effarants, qu’il a envoyé 7 notifications au RASFF23 à ce sujet, sur une année seulement. Nous vous recommandons, par mesure de précaution, de ne vous fier qu’à des aliments ayant été testés en laboratoire indépendant, et dont vous pouvez consulter les résultats. C’est là l’unique gage réel d’engagement pour la santé animale du fabricant, lorsqu’il est totalement transparent !

Et si vous optiez pour des croquettes vraiment pensées pour ses besoins originels ?

Chez CROQ’ la Vie, voilà plus de 15 ans que nous commercialisons les croquettes que nous avons d’abord créées pour nos compagnons de l’élevage des Joyeuses Gambades, puis pour les chats. 

Notre crédo, depuis toutes ces années ? Produire une nourriture au plus proche des Besoins Biologiques et Naturels des chiens et chats, pour les aider à préserver leur santé naturellement. 

C’est pourquoi dans les croquettes pour chat CROQ’ la Vie, vous ne trouverez que ce qu’il faut à votre matou pour l’accompagner tout au long de sa vie : 

  • Zéro fruit, légume, tubercule ou légumineuse
  • 70 % d’ingrédients d’origine animale, provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine
  • 21 % de glucides uniquement 
  • Une cuisson basse température
  • Des tests en laboratoire, dont vous pouvez consulter les résultats ici

Avec CROQ’ la Vie, donnez à votre chaton une hygiène intestinale optimale, et une vermifugation bien moins fréquente !

Des questions sur le parasitisme de votre compagnon, ou sur comment le vermifuger ou le nourrir ? N’hésitez pas, et contactez-nous, soit via les commentaires ci-dessous, soit par email directement. Nous nous faisons toujours un plaisir d’aider les propriétaires amoureux des animaux à proposer le meilleur à leur compagnon !

retrouver tous les commentaires de cet article

Références

  1.  RCP Officiel du Vermifuge PANACUR pour chat[]
  2.  RCP Officiel METROBACTIN[]
  3.  Amel Letaief Omezzine – CHU Farhat Hached Sousse : Les anti-coccidies, Les anti-microsporidies – 2010[]
  4.  RCP Antibiotique Sultrian – anti-coccidien[]
  5.  RCP Antibiotique Bactrim – anti-coccidien[]
  6. RCP officiel du Vermifuge Profender pour chat[]
  7. RCP officiel du Vermifuge Advocate pour chat[]
  8. RCP officiel : Milbemax pour chat []
  9. Mammalogy – Adaptation, Diversity, Ecology, de A.George Feldhamer Lee C. Drickamer Stephen H. Vessey Joseph F. Merritt Carey Krajewski – edition Johns Hopkins University Press (4ème édition) – 27 mars 2015[]
  10. Toxicité digestive et nerveuse de la Pomme de terre – Centre antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[]
  11. Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” :  https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html[]
  12. L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” :  https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[]
  13. SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[]
  14. RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF[]
  15. Viandes avariées recyclées aux Etats Unis et en Europe : https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/tafta-ttip-la-viande-a-la-javel-s-approche-de-nos-assiettes/[]
  16. Carciofi, A. C., Takakura, F. S., De‐Oliveira, L. D., Teshima, E., Jeremias, J. T., Brunetto, M. A., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on dog diet digestibility and post‐prandial glucose and insulin response. Journal of Animal Physiology and Animal Nutrition, 92(3), 326-336. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18477314[]
  17. De-Oliveira, L. D., Carciofi, A. C., Oliveira, M. C. C., Vasconcellos, R. S., Bazolli, R. S., Pereira, G. T., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on diet digestibility and postprandial glucose and insulin responses in cats. Journal of Animal Science, 86(9), 2237-2246. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18469063[]
  18. Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html[]
  19. FRC (Fédéraction Romande des Consommateurs) - Croquettes pour chat : la gamelle qui rend malade : https://www.frc.ch/croquettes-pour-chat-la-gamelle-qui-rend-malade/[]
  20. Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney - Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899[]
  21. Squadrone S , Brizio P , Simone G , Benedetto A , Monaco G , Abete MC – “Presence of arsenic in pet food : a real hazard ?” (Présence d’arsenic dans les aliments pour animaux de compagnie : un danger réel ?) – Vet Ital. 29 décembre 2017; 53 (4) : 303-307. doi : 10.12834 / VetIt.530.2538.2. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29307124 (Version entière au format PDF : http://www.izs.it/vet_italiana/2017/53_4/VetIt_530_2538_2.pdf[]
  22. M. Davies , R. Alborough , L. Jones , C. Davis , C. Williams , et DS Gardner, (2017) : Mineral analysis of complete dog and cat foods in the UK and compliance with European guidelines “Analyse minérale d’aliments complets pour chiens et chats au Royaume-Uni et conformité aux directives européennes.” : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5719410/#CR5[]
  23. RASFF - Food and Feed Safety Alerts : Créé en 1979, RASFF permet un partage efficace des informations entre ses membres (autorités nationales de sécurité des aliments des États membres de l'UE, Commission, EFSA, ESA, Norvège, Liechtenstein, Islande et Suisse) et fournit un service 24h / 24 pour garantir les notifications sont envoyées, reçues et traitées collectivement et efficacement. Grâce au RASFF, de nombreux risques en matière de sécurité alimentaire ont été évités avant d'avoir pu être nocifs pour les consommateurs européens. - https://ec.europa.eu/food/safety/rasff_en[]

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