Mon chat a des vers : que faire ?
Votre chat a des selles molles depuis quelque temps, et vous suspectez quelque chose : vous vous dites tout naturellement “mon chat a des vers !”.
Que faire dans cette situation ? Vous découvrirez la réponse dans ce petit guide en 6 étapes, qui vous guide dans tous les cas de vers chez le chat, le traitement pour les éradiquer, et les clés pour éviter leur récidive dans l’organisme de votre matou.
- Étape 1 : S’assurer que mon chat a des vers
- Étape 2 : Bien comprendre d’où viennent les vers du chat
- Étape 3 : Déterminer de quels types de vers mon chat souffre
- Étape 4 : Choisir le bon traitement pour mon chat
- Étape 5 : Administrer le traitement à mon chat
- Étape 6 : Mettre en place une alimentation pour éviter la récidive des vers
Étape 1 : S’assurer que mon chat a des vers
Première étape, et non des moindres : être certain que votre chat ou chaton souffre bien d’une affection parasitaire.
Pour ce faire, il vous suffit de vérifier s’il présente les symptômes globaux des vers que l’on connaît bien1 2 3 4, à savoir :
- Une perte de poids, un amaigrissement et/ou une augmentation d’appétit
- Un chat qui fait le traîneau : vous voyez votre matou se gratter les fesses sur le sol, car il a des vers, des larves ou des œufs au niveau de l’anus
- Des selles molles, mal formées et mal moulées, voire une diarrhée chronique
- Un ventre gonflé (surtout chez les chatons)
- Des vomissements, éventuellement
- Un pelage plus terne que d’habitude
- Chez le chaton, un retard de croissance
Si votre chat présente ces symptômes, ou plusieurs d’entre eux, depuis un petit bout de temps, vous pouvez bel et bien affirmer : “Mon chat a des vers” !
Étape 2 : Bien comprendre d’où viennent les vers du chat
Une fois que vous avez bien effectué ce primodiagnostic, et que vous savez que votre chat est bien contaminé par des vers, il s’agit de comprendre d’où provient le problème. Cette étape est cruciale pour bien traiter votre animal de compagnie contre les vers, mais aussi pour éviter qu’il ne subisse d’autres infestations !
Alors pourquoi mon chat a-t-il des vers ? C’est simple : il a pu être contaminé s’il a ingéré ou léché des parasites, des œufs ou des larves de vers. Ceux-ci se trouvent souvent dans les excréments d’animaux eux-mêmes contaminés par des vers, dans des aliments malpropres (comme dans de la viande mal cuite), ou encore dans des parasites vecteurs comme les puces (c’est le cas des vers plats comme le Dipylidium).
Mais la présence de vers dans le tube digestif de votre compagnon n’explique pas pourquoi il souffre d’une réelle infestation de vers parasites ! En effet, tous les chats qui sont exposés à ce type de parasites ne les voient pas proliférer dans leur organisme.
Il est important de comprendre que, pour pouvoir se développer dans le système digestif du chat, les vers doivent y trouver un terreau fertile.
Ainsi, les parasites intestinaux prolifèrent uniquement dans les organismes des chats qui présentent un système immunitaire faible. C’est pourquoi on voit souvent les chats nourris avec une alimentation inadaptée à leurs besoins originels, ou de piètre qualité, subir ces infestations : ce type de nourriture affaiblit leur système immunitaire, et offre un terrain parfait pour la prolifération des parasites internes.
Vous verrez qu’à la fin de l’article, nous vous délivrerons les clés pour éviter la récidive des vers chez le chat… et vous comprenez désormais pourquoi tout passera par une alimentation adaptée et de qualité !
Étape 3 : Déterminer de quels types de vers mon chat souffre
Troisième étape, avant même de choisir le bon traitement parmi les antiparasitaires disponibles sur le marché : spécifier de quels types de vers votre chat est infesté. Car, vous le verrez, les différents types de parasitisme ne se traitent pas de la même manière.
Chaque type de vers présente des symptômes différents, que voici.
Les symptômes spécifiques aux vers ronds
Les vers ronds, également appelés nématodes, provoquent bien souvent les symptômes suivants :
- Des inflammations intestinales
- De la fatigue
- Un comportement inhabituel, parfois, lorsque ces vers s’attaquent aux terminaisons nerveuses du chat
Les symptômes spécifiques aux vers plats
On appelle également les vers plats cestodes, mais aussi vers solitaire du chat.
Eux aussi, en plus des symptômes globaux, peuvent déclencher chez l’animal des symptômes plus spécifiques, que sont :
- Une perte de poids, alors même que votre chat mange autant que d’habitude, voire qu’il est un véritable glouton
- Un chat qui ne veut pas se lever de son panier, qui est apathique
Les symptômes spécifiques à la Giardiose
La Giardiose est une parasitose causée par des vers très spécifiques : les giardias. On sait aujourd’hui, grâce à des études récentes, que de nombreux chats en sont atteints : on estime que 14 à 20 % de nos compagnons sont affectés par la Giardiose5 6.
Pour repérer la Giardiose du chat, c’est assez simple : les symptômes de cette pathologie sont très simples à repérer. S’il en souffre, les selles de votre compagnon…
- Sont molles, mal formées
- Sont de couleur terne, voire verdâtre
- Présentent fréquemment des glaires, une substance gluante qui les enveloppe
- Présentent parfois des filets de sang
Les symptômes spécifiques à la Coccidiose
La Coccidiose est elle aussi l’une des parasitoses les plus fréquentes chez nos animaux de compagnie aujourd’hui. Elle est causée par des parasites nommés coccidies.
Tout comme la Giardiose, la Coccidiose se remarque très aisément chez un chat. Ses selles sont généralement liquides, voire très liquides, et de couleur jaunâtre, crème ou orange.
Vous pensez avoir repéré de quels types de vers votre chat souffrirait ? N’hésitez pas à faire confirmer cela par un test parasitaire chez votre vétérinaire. Cette confirmation vétérinaire est d’autant plus nécessaire pour la Giardiose et la Coccidiose, tant les parasites qui causent ces maladies sont microscopiques, invisibles à l'œil nu.
Étape 4 : Choisir le bon traitement pour mon chat
“Une fois que je sais que mon chat a des vers, et de quel parasite il souffre, que faire ?” C’est sans doute ce que vous vous demandez. Voici venu le temps de choisir le bon traitement à votre compagnon. Et, malgré ce que l’on peut penser, tous les parasites digestifs ne se traitent pas avec un vermifuge pour chat !
Comment traiter les vers ronds ou plats ?
Si vous pensez que votre matou souffre d’une infestation de vers plats ou ronds, sachez qu’il existe différents types de traitement antiparasitaire pour l’en libérer. La complexité tient au fait que chaque vermifuge ne fonctionne pas sur l’ensemble du spectre parasitaire (ascaris, ténia, protozoaires, ver solitaire…) : chaque traitement présente quelques types de vers contre lesquels il peut lutter.
C’est pourquoi il est crucial de demander conseil à votre vétérinaire, en amont, sur le type de traitement à donner à votre compagnon. Non seulement il pourra vous aiguiller vers le bon produit en fonction de l’affection parasitaire dont votre chat souffre ; mais il pourra également prendre en compte les contre-indications éventuelles de chaque vermifuge. Par exemple, certains vermifuges sont déconseillés pour les chats en dessous d’un certain âge ou poids, ou aux femelles en gestation ou en lactation.
Votre spécialiste de la santé animale pourra alors vous orienter vers des vermifuges tels que…
- Le Milbemax7
- Le Drontal8
- Le Panacur9
- Le Profender10
- Le Milbactor11
- Le Milpro12
- L’Advocate13
- L’Ascatene14
Si vous souhaitez vous renseigner dès maintenant sur chacun de ces produits, n’hésitez pas à cliquer sur les liens ci-dessus pour accéder à nos articles dédiés à chaque antiparasitaire.
Quel traitement contre la Giardiose du chat ?
Face aux selles molles et diarrhées caractéristiques de la Giardiose du chat, et après avoir demandé à votre vétérinaire le test spécial pour détecter les vers intestinaux responsables de la pathologie, le traitement est simple.
Dans un premier temps, il vous faut vous tourner vers le vermifuge Panacur9. Il s’agit en effet du seul vermifuge efficace contre les parasites giardia : il est efficace dans 60% des cas de Giardiose.
Dans un second temps, et uniquement si le traitement au Panacur n’a pas fonctionné, il vous faudra passer à un traitement antibiotique au Flagyl (ou Métrobactin15). Ce traitement doit être pris sous haute surveillance vétérinaire.
Et parce qu’il est important de bien traiter cette maladie, n’hésitez pas à consulter notre dossier dédié à la Giardiose du chat.
Quel traitement contre la Coccidiose du chat ?
Vous soupçonnez que votre chat a subi une contamination de coccidies, responsables de la Coccidiose ? Là encore, il vous faut d’abord confirmer le primodiagnostic par un test chez le vétérinaire, afin de repérer les vers gastro-intestinaux qui en sont responsables.
Une fois le diagnostic confirmé, un seul traitement peut fonctionner : un antibiotique de la famille des Sulfamides / Triméthoprimes16, comme le Sultrian17 ou le Bactrim18.
Là encore, n’hésitez pas à consulter notre dossier sur la Coccidiose du chat pour bien traiter votre matou.
Attention ! La Coccidiose peut être dangereuse chez le chaton, avec de très grands risques de déshydratation : au moindre soupçon, réagissez vite, en vous rendant chez votre vétérinaire.
Étape 5 : Administrer le traitement à mon chat
Bravo : vous avez désormais entre les mains le traitement adéquat contre les vers dont souffre votre compagnon. Il s’agit désormais de bien lui administrer.
S’il s’agit d’un traitement antibiotique, rien de plus simple : il vous suffit de bien respecter la posologie et la durée du traitement que votre vétérinaire vous aura conseillé.
S’il s’agit d’un traitement vermifuge, tout dépend du format du traitement que vous aurez sélectionné :
- Pour les vermifuges sous forme de comprimés : donnez directement le comprimé dans la gueule du chat, ou bien mélangez-le à sa nourriture ou dans un yaourt nature.
- Pour les vermifuges sous forme de pipette : appliquez le produit à la base du cou du chat, là où il ne peut pas lécher la zone d’application.
- En cas de grande infestation de vers plats ou de Dirofilaria, votre vétérinaire pourra directement faire une injection de vermifuge à votre chat
Quoi qu’il en soit, attention à bien respecter la posologie du traitement, qui se détermine en fonction du poids de corps du chat. Et prenez soin de vous laver les mains soigneusement après administration du traitement.
Félicitations : vous avez traité votre chat contre ses affections parasitaires. Cependant, pour éviter de redire “mon chat a des vers”, prenez soin de prévenir une nouvelle infestation !
Étape 6 : Mettre en place une alimentation pour éviter la récidive des vers
Si les vétérinaires recommandent de mettre en place un traitement préventif des vers du chat 4 fois par an, saviez-vous qu’il était possible de baisser le nombre de vermifugations préventives à 2 fois par an seulement, et ce, grâce à l’alimentation ?
En effet, il est essentiel d’aider votre chat à se débarrasser des vers et des troubles digestifs qui vont avec, et à retrouver une bonne santé intestinale. Et, sans grande surprise, tout ceci passe bien souvent par un changement d’alimentation.
Car il faut le savoir : lorsqu’il chat est nourri avec une nourriture inadaptée à ses besoins originels, ou bien de piètre qualité, son système immunitaire perd en puissance. Résultat : lorsqu’il est exposé à des vers, quels qu’ils soient, il n’arrive pas à naturellement lutter contre, et développe des parasitoses.
Au contraire, lorsqu’un chat est nourri avec une alimentation de qualité, adaptée à ses Besoins Biologiques et Naturels, il se retrouve moins exposé aux parasites internes et externes, et peut plus efficacement lutter contre.
Alors, à ce stade de votre lecture, vous vous demandez peut-être ce qu’est une alimentation réellement adaptée, qui peut aider votre chat à éviter l’infestation de vers ? Il est vrai qu’il est difficile de s’y retrouver actuellement dans l’univers de la PetFood, tant le choix est pléthorique, et les compositions d’aliments différentes.
Le premier pas pour améliorer la santé de votre chat : accepter sa nature carnivore !
À l’heure actuelle, les pâtées et croquettes pour chat contenant des légumes, des fruits, des tubercules ou des légumineuses ont de quoi faire douter de la nature carnivore de nos félins domestiques.
Et pourtant, les études scientifiques sont formelles : malgré des millénaires passés aux côtés des humains, les chats comme les chiens sont bien toujours carnivores. La preuve se trouve dans leurs intestins, trois fois plus courts que ceux de l’homme, lisses et sans ostracion19. Cette structure intestinale est caractéristique des carnivores, et rend la digestion des légumes laborieuse (voire dangereuse, vous allez le découvrir !) pour votre compagnon.
Pour vous aider dans la quête de l’aliment qui aidera votre chat à garder une bonne santé intestinale, et globale, tout au long de sa vie, nous avons listé pour vous les 5 critères de qualité alimentaire qu’il vous faut suivre. Que vous choisissiez une alimentation maison, une pâtée ou des croquettes, elles doivent toutes répondre à ces critères.
- Une alimentation sans légume, tubercule, légumineuse ou fruit. Vous l’avez lu plus haut : votre chat étant carnivore, ces ingrédients ne sont pas adaptés à sa nature. Pire : lorsqu’il en ingère, votre compagnon subit alors des irritations intestinales fortes, qui affaiblissent son système immunitaire. Ces irritations débouchent également fréquemment sur des selles molles et diarrhées chroniques, des vomissements de bile, des pancréatites aiguës, des troubles hépatiques, ou encore des dermatites. D’ailleurs, le Centre Antipoison Animal de l’École Nationale Vétérinaire classe depuis plusieurs années déjà la pomme de terre20, le raisin21, l’ail et l’oignon22 comme “toxiques” pour les chats et les chiens. Veillez donc à supprimer de sa gamelle tout aliment contenant pommes de terre, patates douces, lentilles, pois, pois chiches, petits pois, tomates, courgettes, et autres ingrédients similaires.
- Une alimentation pleine de protéines et graisses animales de qualité. Si votre compagnon est carnivore, c’est bien qu’il a de grands besoins originels en protéines animales. Mais attention à ne pas en négliger la qualité : là encore, face à des protéines animales de qualité douteuse, il peut subir des irritations digestives chroniques, aux mauvaises conséquences sur sa santé. Évitez notamment les sous-produits animaux23 24 : ce sont les déchets de l’industrie agroalimentaire humaine, où sont mêlés des bas morceaux comme des têtes, des carcasses, des cuirs, des cous, des pattes, des becs, ou encore des plumes. Veillez également à surveiller la provenance de ces protéines. Par exemple, dans les pays d’Amérique du Nord, les fabricants sont autorisés à utiliser dans la nourriture animale des viandes avariées recyclées à la Javel25. Ils peuvent également utiliser des viandes dites “fraîches”, qui sont en fait reconstituées à partir d’un mélange de farines animales, de graisses, de minéraux et de beaucoup d’eau. La clé pour le protéger ? Choisir un aliment à base de protéines et graisses animales provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine, et de pays aux législations fermes, comme la France.
- Une alimentation au taux de glucides limité à 33% maximum (soit ⅓ de la composition totale de l’aliment). Malgré ce que les lanceurs d’alerte aux croquettes toxiques peuvent dire sur Internet, l’impact des glucides sur la santé animale est à nuancer. En effet, les études à date2627 ont prouvé que les glucides issus des céréales (comme le maïs ou le riz) sont digestibles à 99% par les chats et les chiens. Les soucis de santé qui découlent de ces éléments surviennent lorsque le taux de glucides de l’aliment dépasse 33%, et que ceux-ci perdent leur effet neutre sur la santé de l’animal. On voit alors des chats souffrir de diabète, d’obésité, ou encore d’infections urinaires chroniques28.
- Une alimentation cuite à basse température. Le mode de cuisson de l’aliment a son importance, car, lorsqu’ils sont cuits à haute température, certains ingrédients libèrent dedans deux éléments nocifs : d’une part, des acrylamides29, cancérigènes, d’autre part, des Advanced Glycated End products30, toxiques pour la santé rénale. Une cuisson à basse température permet d’éviter ces écueils, et de préserver l’intégrité nutritionnelle des bons ingrédients de base de la pâtée ou de la croquette.
- Une alimentation testée en laboratoire contre OGM, métaux lourds et mycotoxines. Vous avez sans doute entendu parler des effets nocifs sur la santé, tant humaine qu’animale, de ces éléments. Et pourtant, bon nombre de marques de PetFood continuent à mettre à disposition des aliments qui en contiennent un taux trop élevé ! Par exemple, du côté des métaux lourds, deux études31 32ont trouvé que 24% des échantillons analysés contenaient un taux d’Arsenic qui dépassait la limite légale posée par l’UE. Ainsi, pour réellement préserver la santé de votre compagnon, faites uniquement confiance à des fabricants ayant fait tester leurs aliments en laboratoire, et vous dévoilant les résultats de ces tests, en toute transparence.
L’alimentation que vous lui choisissez répond à tous ces critères ? Bravo : vous entretenez la santé digestive de votre chat, et limitez vos chances de vous exclamer de nouveau “au secours : mon chat a des vers !”
CROQ’ la Vie : l’aliment complet au service de la santé de votre compagnon
Depuis 15 ans que nous commercialisons les croquettes que nous avons d’abord créées pour les animaux de notre élevage des Joyeuses Gambades, les résultats sont là : chiens comme chats retrouvent une santé de fer, et subissent beaucoup moins d’infestations de vers.
Aucun secret à cela : tout est dans la composition de nos croquettes pour chat CROQ’ la Vie…
- 70% d’ingrédients d’origine animale, provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine
- Aucun légume, tubercule, légumineuse ou fruit
- 21% de glucides seulement
- Une cuisson à basse température
- De bons ingrédients provenant de nos chères terres françaises
- Des tests en laboratoire, dont vous pouvez consulter les résultats ici
Votre chat sera-t-il le prochain à bénéficier de la Santé par l’Alimentation©, et de la gourmandise de CROQ’ la Vie ?
Une question, un doute sur les vers du chat, ou son alimentation ? Contactez-nous via les commentaires ci-dessous, ou directement par email : nous nous faisons toujours une joie de vous partager nos conseils de bon sens, mais qui font souvent toute la différence sur la santé de vos compagnons !
retrouver tous les commentaires de cet articleRéférences
- Henry, Perrine and Huck, Claire. Etude de la prévalence des parasites gastro-intestinaux, pulmonaires et de Taxoplasma gondii chez le chat en région toulousaine. Thèse d'exercice, Médecine vétérinaire, Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse - ENVT, 2017, 132 p.[↑]
- Jacques Euzeby. 1987. Protozoologie médicale comparée. Volume 2, Collection Fondation Marcel Merieux[↑]
- Jean Bussiéras. 1 Janvier 1992. Abrégé de parasitologie vétérinaire. Éditeur : Ecole Nationale Vétérinaire[↑]
- Beugnet, Frédéric, and Lenaïg Halos. 2015. Parasitoses & vector borne diseases of cats.[↑]
- F. BEUGNET, J. GUILLOT, B. POLACK et R. CHERMETTE. Enquête sur le parasitisme digestif des chiens et des chats de particuliers de la région parisienne. Laboratoire de Parasitologie, École Nationale Vétérinaire de Maisons-Alfort. Revue Méd. Vét., 2000, 151, 5, 443-446,[↑]
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- RCP officiel : Milbemax pour chat[↑]
- RCP officiel : Drontal pour chat[↑]
- RCP Officiel du Vermifuge PANACUR pour chat[↑][↑]
- RCP officiel du Vermifuge Profender pour chat[↑]
- RCP officiel du Vermifuge Milbactor pour chat[↑]
- RCP officiel du Vermifuge Milpro pour chat[↑]
- RCP officiel du Vermifuge Advocate pour chat[↑]
- RCP officiel du Vermifuge Ascatene pour chat[↑]
- RCP Officiel METROBACTIN[↑]
- Amel Letaief Omezzine – CHU Farhat Hached Sousse : Les anti-coccidies, Les anti-microsporidies – 2010[↑]
- RCP Antibiotique Sultrian – anti-coccidien[↑]
- RCP Antibiotique Bactrim – anti-coccidien[↑]
- Mammalogy – Adaptation, Diversity, Ecology, de A.George Feldhamer Lee C. Drickamer Stephen H. Vessey Joseph F. Merritt Carey Krajewski – edition Johns Hopkins University Press (4ème édition) – 27 mars 2015[↑]
- Toxicité digestive et nerveuse de la Pomme de terre – Centre antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[↑]
- Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html[↑]
- L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[↑]
- SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[↑]
- RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF[↑]
- Viandes avariées recyclées aux Etats Unis et en Europe : https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/tafta-ttip-la-viande-a-la-javel-s-approche-de-nos-assiettes/[↑]
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- M. Davies , R. Alborough , L. Jones , C. Davis , C. Williams , et DS Gardner, (2017) : Mineral analysis of complete dog and cat foods in the UK and compliance with European guidelines “Analyse minérale d’aliments complets pour chiens et chats au Royaume-Uni et conformité aux directives européennes.” : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5719410/#CR5[↑]